Actualités Atos – Avril 2021

EDITO : Haut les coeurs !

L’édito en vidéo 
La pandémie s’est installée depuis plus d’un an. Une longue année durant laquelle chacun a vécu au rythme des confinements, des couvre-feux, des privations sur la vie sociale et culturelle. La CFDT n’oublie pas que c’est encore aujourd’hui un sujet de préoccupation majeur pour de nombreux salariés. La vie familiale perturbée, la réduction des contacts avec son collectif de travail, les changements induits et à venir de « Spring Days » chamboulent notre quotidien et réduisent nos capacités à rebondir et à garder espoir dans l’avenir.

Cette pandémie a eu et continue à avoir des conséquences graves, humainement et économiquement. Chez Atos, la CFDT a tenté d’amoindrir les dégâts.

L’accord Covid signé par la CFDT en 2020 nous a permis d’amortir l’effet du chômage partiel et d’adopter plus aisément le télétravail généralisé, facilité par un accord télétravail signé par la CFDT qui traitait déjà le cas de la pandémie. Même si quelques déboires en fin d’année ont terni le paysage et embrumé les esprits, les accords sur le temps de travail et la gestion des jours de congés, signés par la CFDT en 2016 (aujourd’hui seul syndicat représentatif à avoir signé ces accords), a permis et continue de sauvegarder les droits des salariés en ces moments de grande agitation.

Une lueur d’espoir est apparue en début d’année, lorsque la longue et fastidieuse négociation sur l’égalité professionnelle entre les Femmes et les Hommes a abouti à un très bel accord signé par tous les syndicats. Une réussite collective dont nous pouvons vraiment être fiers ! Comme quoi tout est possible !

Alors pour rassurer, pour redonner confiance et envie, la CFDT favorise l’équité et la solidarité en demandant une augmentation générale de 1 500 euros pour tous, la généralisation de la subrogation, une indemnité télétravail pour compenser les dépenses quotidiennes des salariés, une GEPP-GPEC solide et ambitieuse, des mesures de prévention RPS efficaces pour protéger les plus fragiles d’entre nous et bien d’autres choses…

Il va de soi que nous continuons à lutter, à ne rien lâcher et à espérer, malgré des NAO qui s’annoncent difficiles et insatisfaisantes, malgré les restrictions et les incertitudes, malgré les mécontentements et les craintes… car Atos est résilient, nous a-t-on dit, et nous voulons plus que jamais le croire et le prouver !

La CFDT , toujours lucide, ne perdra jamais de vue l’essentiel quoi qu’il en coûte. Protéger et préserver nos salariés et notre entreprise restent nos priorités, et ça nous savons et saurons le faire tous ensemble !

Veiller à ce que Spring soit vraiment « une réussite », encadrer le projet sur la transformation des fonctions support finances et RH et minimiser ses impacts, limiter les préjudices éventuels de la réorganisation juridique à venir, voilà ce à quoi va s’atteler la CFDT dans les jours à venir !

Alors haut les cœurs, les amis, car notre avenir est devant nous et c’est nous qui allons bien le construire ensemble !
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Égalité professionnelle : des droits pour toutes et tous

Vidéo explicative

Après 18 mois de négociations, la CFDT a signé l’accord égalité professionnelle. Un autre tract vous donnera le détail de l’accord. A l’occasion de cette négociation, la CFDT a revendiqué et obtenu des droits pour toutes et tous. La cotisation retraite à taux plein, la CFDT a pris les devants ! L’ancien accord égalité professionnelle prévoyait une disposition permettant aux salariés à temps partiel de cotiser à taux plein pour leur retraite. La CFDT a souhaité pérenniser ce droit dans un accord séparé, à durée indéterminée, et a donc signé l’accord du 15 décembre 2020. La CFDT s’est souvenue du mauvais tour joué par la direction, qui a dénoncé les accords sur les surtemps de trajet de 2016 quelques mois après leur signature. Afin de sécuriser cet accord, la CFDT a obtenu qu’il soit relié aux accords de 2016 sur le temps de travail par une clause d’interdépendance. Il ne peut donc plus être dénoncé isolément. Retrouvez l’accord du 15 décembre 2020 sur les cotisations à taux plein ici.

Une grande partie de la vie professionnelle des salariés est gérée par l’entreprise sur la base du référentiel GCM : carrières, salaires… Seul problème : à la différence des positions et coefficients des conventions collectives (« Syntec » et « métallurgie »), ce référentiel n’est pas contractuel. L’entreprise peut donc affecter une filière ou un niveau à sa guise. La CFDT a obtenu qu’il soit inscrit dans l’accord égalité professionnelle que le niveau GCM ne puisse plus descendre, sauf changement de filière. Fini le manager ou le commercial qui vous dit que : « Tu vas passer de AD4 à AD3, comme ça je pourrai t’affecter à ce projet ! » Et même dans le cas d’un changement de filière, un plan doit être établi pour acquérir les compétences manquantes pour revenir au niveau précédent. Au bout d’un an, le retour à l’ancien niveau est automatique. Finies les demandes incessantes pour retrouver son niveau GCM ! Notons que c’est la première fois que la direction accepte, à travers cette demande de la CFDT , d’encadrer le référentiel GCM.

Des précisions sur cet accord dans une vidéo ici.

Négociations annuelles obligatoires

Les NAO sur les salaires ont démarré le 9 février sur le périmètre de l’UES Atos France. Les résultats économiques du groupe sont en phase avec les objectifs et tous les objectifs de 2020 ont été atteints. L’entreprise a de nouveau affiché un très fort dynamisme commercial, permettant d’enregistrer un niveau record de prise de commandes.

Malgré cela, la direction a décidé que 2020 serait une année blanche, tout en renvoyant la négociation à une période qu’elle espérait plus favorable.

Les revendications CFDT pour les salaires 2021

Pour la CFDT, les efforts méritent d’être récompensés, et nous ne nous contentons pas d’un discours alarmiste. La CFDT constate l’implication et les efforts des salariés qui ont été très forts malgré la crise sanitaire qui impacte fortement l’organisation du travail (activité partielle, télétravail) et les conditions de travail en particulier : lors du premier confinement, de nombreux salariés ont continué à travailler sur leurs sites et en clientèle. 

La négociation annuelle doit concrétiser cette reconnaissance de l’engagement de tout un chacun. Au regard de ces résultats, de la situation exceptionnelle que nous subissons et de l’absence d’augmentation en 2020, nous demandons principalement :

  • Une augmentation générale de 1500€ pour tous les salariés (soit environ +3% par rapport au salaire moyen chez Atos)
  • Versement d’une prime « accolade gold » destinée aux salariés/projets identifiés pour leur attitude exemplaire lors du 1er confinement
  • Harmoniser la subrogation à tous les salariés, il n’est pas normal que des salariés ne puissent pas bénéficier du maintien total de leur salaire en cas d’arrêt maladie ou d’accident de travail.

Les principales revendications CFDT NAO 2021 sont disponibles : ici

Les propositions de la direction

La CFDT est très déçue par les propositions actuelles de la direction qui se décomposent en 2 parties :

1 Augmentation salariale pour un montant brut annuel de 375 € (soit 31,25€ par mois) pour les salariés répondant simultanément aux critères suivants :

  • Rémunération au 31/12/2020 inférieure ou égale à 150 000 € bruts annuels (fixe + variable à 100%)
  • ET évolution salariale de la rémunération annuelle – sur la période entre le 31/12/2017 et le 31/12/2020 – inférieure ou égale à 200 € brut

2 Augmentation salariale pour un montant brut annuel de 250 € (soit 20,83€ par mois) pour les salariés répondant simultanément aux critères suivants :

  • Rémunération au 31/12/2020 inférieure ou égale à 150 000 € bruts annuels (fixe + variable à 100%)
  • ET évolution salariale de la rémunération annuelle – sur la période entre le 31/12/2018 et le 31/12/2020 – inférieure ou égale 200 € brut

La politique salariale n’est pas au niveau d’attente des salariés ni au niveau de rentabilité de notre entreprise. La performance ne doit pas être seulement économique, elle doit être également sociale.

Télétravail, les dits et les non-dits

La direction a formulé l’engagement que les salariés n’ayant pas d’avenant télétravail, mais qui opèrent en télétravail, pourront aussi bénéficier des conditions prévues pour l’achat de mobiliers ou matériels, sous réserve que les achats aient été effectués après le 16 mars 2020 (cf : accord télétravail (art 7.6 page 12 et annexe 1 page 20). 

Cette participation à l’achat de matériels se fait en une seule fois, à hauteur de 50% des factures, plafonné à 300 €. Si le total de vos factures atteint ou dépasse 600 €, alors Atos limitera le remboursement à 300 €. 

Exceptionnellement, la direction a accepté le remboursement de matériels en 2 ou 3 notes de frais pour les salariés disposant d’un avenant télétravail : si vous avez déjà déclaré une note de frais et que vous envisagez l’acquisition de matériel complémentaire, vous pouvez présenter une nouvelle note de frais, mais sans dépasser le plafond de remboursement de 300€ (en cumulé). Cette annonce a été faite dans la Commission Santé, Sécurité et Conditions de Travail centrale (CSSCT) du 2 mars 2021. 

La participation à l’achat de « mobilier » concerne un bureau, un siège ergonomique, un caisson de rangement, un écran d’ordinateur, imprimante/scanner, chargeur ordinateur portable, souris, clavier, amplificateur ou répéteur Wi-Fi. Vous avez la possibilité de commander du matériel depuis la fonctionnalité d’achat (procurement) mis à disposition dans l’intranet myAtos, comme par exemple : casque filaire, sac à dos, sacoches, trolley…  

Sur simple demande, Atos peut aussi « prêter » aux salariés des matériels (écrans, sièges, …). 

Vous avez également la possibilité de vous faire rembourser vos consommables (papier, cartouche d’encre). 

Pour info, en 2020, la direction a traité 618 demandes de remboursement d’achat de mobilier et matériel pour 371 salariés, avec un remboursement moyen de 112€.

Les congés, il faut y penser : la CFDT l’a fait dès 2016 !

En 2020, la direction a empêché de nombreux salariés de poser leurs congés. La CFDT a pris ses responsabilités. Nous avons déposé plainte aux côtés de deux autres syndicats représentatifs, des 3 CSE d’établissements et du CSE central de l’UES Atos France. La plainte, reçue par le Procureur de la République, est en cours d’instruction par le parquet. En 2021, la direction est revenue avec une note unilatérale. À la demande de la CFDT, elle s’est engagée à traiter ces problèmes de congés avec un plus grand respect des salariés et leurs contraintes personnelles qu’en 2020. Pour vous aider à traiter votre situation personnelle, contactez la CFDT. Certains interprètent abusivement le texte, vous pouvez retrouver la note ici.

La CFDT est aujourd’hui le seul syndicat représentatif à avoir signé les accords de 2016 qui ont instauré par exemple :

  • les congés exceptionnels pour événements familiaux,
  • le maintien du salaire pendant le congé de paternité ou le congé de solidarité familiale,
  • les congés pour garde d’enfant malade,
  • trois demi-journées pour participer aux examens médicaux obligatoires de suivi de la grossesse,
  • une demi-journée de retard autorisé pour rentrées scolaires jusqu’à la sixième et en cas d’hospitalisation du conjoint.

Le compte-épargne temps (CET) est aussi défini par les accords de 2016. On peut créditer jusqu’à 5 jours de 5ème semaine de congés payés (5ème CP) pour les salariés âgés de moins de 50 ans, jusqu’à 5 jours de 5ème CP ou ancienneté entre 50 et 54 ans et à partir de 55 ans cumuler jusqu’à 5 jours de 5ème CP avec les jours d’ancienneté.

Le CET compensation RTT a pour but de compenser transitoirement l’éventuelle baisse du nombre de jours de RTT ou de repos par rapport à 2015. Les salariés concernés vont, pour la plupart, recevoir en 2021 la compensation pour la dernière année (2020). Les salariés du groupe âgés de 55 ans ou plus en 2016 et toujours présents dans les effectifs continueront de bénéficier du dispositif.

A compter du 1er juillet 2021, le congé de paternité passe de 11 à 25 jours. Depuis les accords de 2016 signés par la CFDT, la rémunération de base est maintenue durant ce congé.

En signant ces accords, la CFDT a permis la création de tous ces droits.

Retrouvez ces accords ici.

Forfait mobilités durables pour l’année 2020

Anciennement dénommé « indemnité kilométrique vélo », cette négociation a commencé en novembre 2020 et nous en sommes actuellement à la 9ème réunion. Pour la CFDT, il est important d’inciter et d’accompagner les salariés vers une mobilité plus vertueuse, avec une adaptation et une amélioration régulière des mesures mises en œuvre.

Pour ne pas pénaliser davantage les salariés sur l’année 2020, la CFDT a demandé la mise en place rapide d’un accord pour l’année 2020 avec un forfait mobilité dédié au vélo (prise en compte d’une indemnité forfaitaire pour usage du vélo, prise en charge pour la remise en état et de petits matériels de sécurité, ainsi qu’une participation à l’achat d’un vélo ou VAE).

La CFDT préconise de mettre en place des mesures ciblées après avoir établi un diagnostic. Par ses argumentations, la CFDT a réussi à convaincre la direction qu’une enquête conjointe constitue un prérequis important à la mise en place d’un accord efficace : nous avons besoin d’un bilan, besoin de connaître la situation pour trouver ce qui doit évoluer, ce qui peut inciter ou ce qui peut freiner les salariés à adopter une mobilité plus respectueuse.

Nous vous tiendrons informés de l’avancement de cette négociation et de la mise en œuvre de l’enquête.

 

 

Les Négociations à venir

Contrat de Génération
L’accord portant sur le contrat de génération a suscité un intérêt certain auprès des salariés. La CFDT demandera le renouvellement et l’amélioration des dispositions existantes.

GEPP (Gestion des Emplois et des Parcours Professionnels)
Avec la mise en place de Spring, la Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences est stratégique. La CFDT sera très attentive en abordant cette négociation. La première question qui vient à l’esprit est de savoir si ce projet a un quelconque rapport avec une organisation, tant la direction montre son incapacité à mener une transition préparée sans faille.

Mais la principale préoccupation de la CFDT réside dans la gestion des carrières des salariés qui doit assurer l’accompagnement de l’ambition légitime des salariés. L’anglais va encore accroitre son importance. La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences est stratégique. La CFDT  abordera avec beaucoup d’attention cette négociation qui va s’ouvrir.

Risques Psychosociaux (RPS)
Le projet R7 Finances prévoyait de délocaliser des emplois, au moment crucial de la transition vers la nouvelle organisation Spring. Heureusement, la direction n’est pas allée au bout de son projet. Toutefois, une expertise du CSEC sur la fonction Finance a révélé des problèmes graves pour la santé des salariés. C’est malheureusement une constante dans la façon dont la direction aborde les RPS : elle attend de devoir jouer les pompiers, au lieu de prévenir les risques. Pour la CFDT , la prévention sera un axe de revendication essentiel.

Congés proche aidant
Ce congé vise à soutenir les salariés qui ont un proche en situation de dépendance. Pour la CFDT , cette solidarité est une valeur importante.

Note sur les Congés
La direction vous invite à ne pas verser vos congés sur le CET, ou à abandonner vos congés de fractionnement. Mais ces droits sont acquis par des accords signés par la CFDT. Pour toute précision, contactez la CFDT !

Samedis fériés
La prise en compte des 4 prochains samedis se fait dès à présent (1er mai, 8 mai, 25 décembre, 1er janvier 2022). La règle de pose des congés associée à une récupération du samedi férié est détaillée sur notre site internet : https://www.cfdt-atos.org/conges/


N’hésitez pas à contacter les Militants CFDT😊

Aix en Provence : Olivier BALFOURIER, Rémy RAYMONDO, Karine DUMOULIN, Vincent GENTIL, Jean-Luc GIMENEZ, Maria-Gabriela LOVATO, Bernard BROUILLET, Isabelle FINETTE, Philippe STOLPE, Carole MILLET, François ZANABONI, Laurent VARINI

Angers : Dominique ROUGER, Nicolas BARAUD, Régis GARREAU

Bezons : David CASTELLI, Isabelle BELZANNE, Armen GH-ARAKELIAN, Sihem BELHACENE, Safia ZEMMAL, Hakim BELHACENE, Djemel BELHACENE, Leila LFAREH, Eric BAAN, Nassim BAKIRI, Thierry GOTTI, Youssef OUNZI, Yazid YOUS, Akila BOUNEKTA, Rachid EL MORNAKI, Malik MEKERRI, Abderrahmane HALLA, Fabricia JAGER, Christophe LAGUERRE, Jules-Mensah FAGBEGNON, Philippe CUVELIER, Samia MEHREZ, Joseph MASSOCK, Houssem GHERISSI, Marie-Christine DUFFEZ, Jérôme BERTIN, Estelle COUPARD, Frédéric BLUM, Dominique PIERRE,
Sabrina KAOUAHLI, Malika CHABANI, Encarnita ALEMANY, Hervé BROSSET

Bordeaux : Faïza TALEM, Frisco FERNANDEZ, Peggy MARSAN, Claire PHALIPPOU

Bruyères : Ahcène HETTAL, Vincent DUPUIS

Caen / Rennes : Luc MATHIEU, Denis MATHELIER

Cergy : Arnaud BLANC

Clermont : Marc DUGUET, Olivier DUTHEIL, Grégory NAILLAT, Guy COHALION

Grenoble / Echirolles : Denis GUTFREUND, Martine MAURIN, Françoise MILLE-REY, Benoît BOIREL, Thierry ROBIN, Marie-Claude SEYLLER, Stéphane JOUNIAUX, Guy-Bernard CLERC, Fabrice GERFAUD VALENTIN, Sébastian PAZ, Patricia GABORIEAU, Zivan MICIC, Thierry LUBINEAU  Serge ZANGHERI, Claire SOURNIAFEDER, Didier DEPLANCKE

La Réunion : Laurent PHILOGENE, Nicolas LEBON

Les Clayes / Boulogne Billancourt : Nermine SHALABY, Christophe GUILBAUD, Dominique PIERSON, Adel KLAI, Foad EL-HANNOUFI, Alain CHEBBAH, Lionel WURFFEL, Sylvie GILLET, Willy RAJERISON

Lille : Houssine BRAHIM, Rachid DERDAKI, Jean-Philippe BOURRIEZ, Grégory DECAN, Valérie RODRIGUES, Max DESWARTE, Françoise DELPLACE, Philippe WROBEL, Olivier RICHET , Jean-Marie FLAMME, Catherine GILMANT

Lyon / Villeurbanne : François BORJA, Eric LEMIERE, Stéphane GAUTHERON, Lionel JACOB, Chrystelle ROUSSET, Stéphane FUSILS, Edin HAZNADAR, Lucas ROUSSET, Bruno PALLATIN, Anne MEZENGE, François MOURET, Hassiba KIRATI, Philippe GEORGET, Warda MSALLAK, , Morad AIT-MESSAOUD, Julien DELISLE

Montpellier : Alexis DEBOURDIEU, Sabine JEST, Schehrazed LAGRINI-LEBERT

Nantes / Niort : Vincent PRIN, Francine FREISS, Hervé KAMANI-TOKO, François NECTOUX

Orléans/Tour : Lucien CALOC, Sylvain BRISSARD, Anne-Ségolène BOULANGER, Thierry HACHET, Thierry MADEC, Dominique MARTIN, Mohamed SAMIR, Frédéric RICHER, Frédéric DARDE

Saint Ouen / Aubervilliers : Salomon MAMAN, Norbert RAFFOLT, Djamila LABOUDI, Malek-Hossein SHAHIN, Sandrine MEZZANOTTI, Laurent LE CADRE, Sylvie ANTOMARCHI, Serge BABET

Six-Fours : Guylaine PIERSON

Sophia Antipolis : Dominique DERAI, Hélène LAMOUREUX, Carlos ARAUZ-FLORES, Stéphane DUFLOT

Strasbourg / Mulhouse : Tristan LABBE, Jean-Marc NAHLOVSKY, Olivier KREISS, Mathias TERREAUX, Benoît NAEGEL

Toulouse : Claire PHALIPOU, Alia IASSAMEN, Philippe SERAUD, Yves DUCLER, Caroline ESPERANCA, Patricia SEGONDS, Pierre JEAN, Denys LOMBARD

Trélazé : Thierry POUPLIN, Laetitia VINSONNEAU, Sébastien LAVIS, Hélène DELESTRE, Denis JAGUENEAU, Yves MORIN, Alain MONTRIEUX

Imakumo – Engage ESM : Mehdi ATTAR, Julien GUILLOT

Atos International :Alexandre GILLET

Notre travail vous intéresse ?
Vous voulez vous investir et faire changer les choses ?

Travaillons ensemble et rejoignez-nous !

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