Actualité sociale et économique de l’UES Atos France – Janvier/Février 2019

2019 : Une année charnière !

Comme vous le savez, à fin 2019 des nouvelles élections définiront un nouveau paysage en ce qui concerne vos représentants du personnel. Finis les délégués du personnel, les membres des CHSCT, les élus des Comités d’Entreprises. Un paysage nouveau va prendre forme avec des coupes drastiques dans ces effectifs avec la naissance des CSE et donc une moins grande disponibilité de vos IRPs à votre écoute et pour défendre vos intérêts.
Pourtant 2019 est bien l’année de tous les dangers pour ATOS. Nos hauts dirigeants et leur représentant en chef, notre CEO, ne raisonnent que par le cours de bourse. Loin de l’attendu avec un horizon à 200 euros l’action Atos à 2020, le cours a chuté de quelques 130 euros à moins de 70 euros pour clôturer 2018.
Les causes et les conséquences sont majeures. Le plan AMBITION 2020 était-il adapté ? Visiblement non, puisqu’il a été interrompu avant terme. La réorganisation IDM à l’étude en 2018 et qui avait débuté a été brutalement stoppée en Novembre 2018 et a conduit au départ de son patron du global. Plus généralement, les résultats du groupe ont été les plus faibles de ces dernières années, attirant la méfiance des marchés et des investisseurs. Et puis SYNTEL… Atos se développait sur une jambe sur le marché nord-américain, où seul IDM était présent. Il fallait rééquilibrer notre entreprise et Atos a acheté SYNTEL. Mais l’impact n’a pas été celui attendu, les marchés sont restés méfiants. Par ailleurs, pour la première fois depuis l’arrivée de notre CEO, Atos a dû s’endetter pour réaliser cette acquisition à 3,4 Milliards d’euros. Et la dette portait sur quelques 2,9 Milliards, comme Atos (comme quasiment tous ses concurrents de l’IT) ne sait croître que par fusion-acquisition et nullement par la croissance organique, il fallait trouver des solutions en urgence.
En effet, le cours de bourse était si bas qu’Atos se trouvait sous le coup d’une possibilité d’opération de rachat hostile. Peu ou prou, Atos comme sa filiale Atos Worldline avaient une valorisation boursière aux alentours de 8 à 10 milliards d’euros. Pour autant, Atos vaut dans les faits beaucoup plus cher et constitue donc sur les marchés un excellent investissement.
Il y avait plusieurs scénarii possibles pour se prémunir de toute attaque hostile. Atos en a choisi un dont il est trop tôt pour savoir si c’est un bon choix. Atos a donc pris une décision majeure pour l’avenir du groupe, à savoir la réduction de la participation d’Atos dans sa filiale de paiement, Worldline. Même si un partenariat entre Atos et Worldline va subsister, il est potentiellement acquis à terme une séparation des 2 entités.
En synthèse : Atos diminue sa participation dans Worldline de 50.8% à 27.4% avec distribution de 2 actions WL pour 5 Atos. De cette façon Atos reste 1er actionnaire de Wordline et se situe juste au dessus de Six. De fait Atos conserve sa minorité de blocage (Atos reste dominant avec quasiment 40% des droits de vote au Conseil d’Administration). La part d’actions sur le marché (le float) de Worldline augmente. Worldline devient plus indépendant financièrement. Concernant ATOS, l’impact financier sur les comptes de l’entreprise est positif grâce à la déconsolidation de Worldline. Du coup, cela permet de remonter les actifs de Worldline. Des 2 côtés, ces impacts financiers positifs ont pour effets principaux une amélioration de la marge et une régénération de la trésorerie disponible (Free Cash Flow) qui permettra aux 2 entreprises de continuer leurs potentielles acquisitions, ce que la génération de la dette par SYNTEL ne permettait pas.

Atos donne donc de l’indépendance à sa filiale « pépite » pour se redonner du CASH. Dans le discours de notre CEO lors de l’Investor’s day, d’autres actions de ce type sont à envisager telles que l’introduction en bourse à terme de l’autre pépite : BDS. Cette opération n’est pas sur du court terme, aujourd’hui BDS ne serait valorisé qu’aux alentours d’un milliard d’euros, un montant bien trop faible pour une IPO, mais le scénario est envisagé (dans 5, 10 ans ?).
Les autres axes sont dans le nouveau plan à 3 ans dont la verticalisation sera un point central et fonctionnera sur un modèle très SYNTEL. Cette verticalisation aura sans doute pour effet de déterminer des piliers « métiers » pour gouverner les grands comptes Atos avec la possibilité de s’en séparer plus facilement par externalisation. Avant-hier WSDS nous a quitté, hier nos collègues de la maintenance, aujourd’hui un projet se fait jour sur les activités physiques liées aux Data Centers (avec le même repreneur que pour la maintenance). Jusqu’à quand le détricotage de l’entreprise va-t-il se poursuivre ?
On peut s’en inquiéter quand notre CEO parle déjà d’obsolescence tant par exemple pour le Digital Work Place que pour l’Hybrid Cloud et ne parle que de « Datas, Datas, Datas » et plus particulièrement d’IOT (Internet des choses ou objets connectés) et de cybersécurité et protection de celles-ci. Quid de nos métiers traditionnels (Legacy) ? On peut lire dans la presse qu’IBM se lance dans des actions d’acquisition de la vieille technologie Mainframe…

 

Il va donc être très important, chers collègues, de bien considérer ce que sera le futur chez Atos, ses métiers de pointe et ceux appelés à être « cédés » à des acteurs de « niches ». La CFDT ATOS sera particulièrement attentive à la politique de formation des 3 prochaines années et de l’UPSKILLING en matière d’Intelligence Artificielle.

 

2019, Yes, we can ! 

Malgré tout, l’équipe CFDT ATOS est plus motivée que jamais en 2019 !
Emplois et compétences, rémunérations (salaires, intéressement, participation, pour une meilleure répartition des richesses du groupe…), égalité professionnelle, seniors, handicap, RPS… Sur tous ces chantiers, la CFDT continue à s’engager pour chacun et d’agir pour tous ! 

En ce début d’année, nous souhaitons la bienvenue à nos collègues Air-Lynx au sein de l’UES Atos France et à nos collègues Imakumo désormais représentés au sein du groupe Atos !

Et maintenant, faisons le point sur la CFDT :

1) Premier syndicat de salariés en France dans le privé et public
Le paysage syndical français a changé ; déjà en tête dans le privé depuis mai 2017, la CFDT, à l’issue des élections professionnelles du 6 décembre 2018 dans la fonction publique, est devenue le premier syndicat français public et privé confondus. Le travail quotidien auprès des salariés du privé et des agents publics a payé.
C’est grâce à nos valeurs, notre travail constant et notre rigueur, que notre syndicalisme responsable a réussi à s’imposer loin de la démagogie et de la promesse facile.

 

2) Premier syndicat chez les cadres
La CFDT est le premier syndicat pour les cadres du privé ; un atout non négligeable pour obtenir des avancées et un résultat qui sanctionne positivement notre proximité aux réalités et identités professionnelles de ceux que nous accompagnons.

3) Premier syndicat au sein de l’UES Atos France et du Groupe Atos
Vous nous avez renouvelé votre confiance lors des dernières élections, fruit du travail et de l’investissement constant et quotidien de vos élus afin d’être à la hauteur de vos attentes.
Nous vous en remercions.
L’année 2019 s’annonce chargée : les négociations annuelles portant notamment sur les salaires se poursuivent, les élections professionnelles se préparent pour la mise en place du nouveau CSE (Comité Social et Economique) issu des ordonnances Macrons de 2017 qui ont profondément bouleversé le code du travail. Ce nouveau CSE viendra fusionner les instances de représentation des salariés existantes, DP, CHSCT et CE. Les négociations en cours devraient être l’occasion de repenser le dialogue social dans son ensemble, avoir de véritables informations/consultations sur les sujets structurants, permettre l’accès à ces discussions aux experts pour nous aider à construire des argumentaires, associer le plus en amont possible les salariés dans l’évolutions d’Atos. Tels sont les enjeux de la mise en place de la nouvelle architecture sociale.
L’année 2019 sera encore jalonnée de défis à relever.
Alors n’hésitez pas ! En 2019, rejoignez le syndicalisme pragmatique et responsable incarné par la première organisation syndicale de France et d’Atos : la CFDT !

 

 

Prime « Macron » : Atos répond à l’appel à l’aide du président de la république ; Quand on veut, on peut ! Vraiment ?

L’UES Atos France vient d’annoncer sa décision d’attribuer une prime dite « Macron ». Ainsi, après des années de négociations salariales minimalistes, Atos vient de trouver brusquement les ressources suffisantes pour satisfaire aux demandes d’un président aux abois. Les négociations salariales ont débuté, elles permettront de voir si, enfin, les dirigeants du groupe accordent un réel intérêt aux attentes de nombreux salariés, fût-ce au léger détriment des actionnaires !

Cette décision est sans conteste le résultat de multiples interventions de diverses délégations syndicales auprès des représentants de la direction. Même si, déjà, il en est pour s’en attribuer la seule paternité.
Et cette décision tient aussi à d’autres raisons, plus politiques et moins exposées publiquement !
Après un début de quinquennat où le président de la république, son gouvernement et ses fidèles « marcheurs » se sont ingéniés à dédaigner les corps intermédiaires et à ne pas écouter les alertes sociales que lui remontaient de nombreux édiles, la crainte légitime d’un chaos social l’a fait reculer sur de nombreux principes.
• Retour des heures supplémentaires défiscalisées et exemptées de cotisations sociales* qu’il avait lui-même contribué à supprimer du temps de son idylle avec son prédécesseur à l’Elysée.
• Recul sur la CSG pour un grand nombre de retraités.
• Enfumage sur l’augmentation salariale de 100 Euros nets pour les salariés au SMIC. Il est très vite apparu que ce n’était pas une augmentation du SMIC mais une accélération du calendrier de réévaluations de la prime d’activité, que tous les smicards ne touchent pas ou alors de façon incomplète.
• Appel aux entreprises, ses principaux soutiens, pour tenter d’amadouer une colère grandissante en France.
* des mesures qui « ne répondent pas à l’urgence économique et sociale » et risquent, avec la défiscalisation des heures supplémentaires et l’exonération des cotisations, de détruire des emplois et fragiliser notre modèle social.
La direction a attendu le dernier moment pour répondre unilatéralement à la demande de la prime exceptionnelle du président le 31 janvier !
La CFDT sera vigilante à ce que le budget correspondant n’obère pas les propositions de la direction pour les NAO 2019.
Voir ci-dessus le détail de la répartition de la prime, selon les données en notre possession.

 

 

 

NAO 2019, les négociations sont ouvertes ! 

Quelles sont les bonnes résolutions de la direction pour 2019 ?

La CFDT propose quelques pistes de réflexion :
– Application de la prime exceptionnelle du pouvoir d’achat (PEPA)
– Revalorisation de la participation aux repas de midi : RIE, tickets restaurants, …
– Revalorisation des plafonds de remboursements des frais professionnels
– Généralisation de la subrogation
– …
Alors Mr Breton, … Chiche ?
La direction a débuté les NAO 2019, à la demande des Organisations Syndicales, dès le 9 janvier.
Lors de la première réunion, elle a présenté l’application des mesures 2018 (PV de désaccord) mais le compte n’y est pas.
Concernant les augmentations collectives, la direction avait recensé 3346 personnes éligibles à la mesure de 500 € pour un salaire inférieur à 38 k€. L’application n’en concerne que 2697 : soit 20 % de moins. Même chose pour la mesure des non augmentés depuis 3 ans avec un salaire inférieur à 70 k€ : cela devait concerner 2235 et seules 1906 en ont bénéficié (-15%). L’enveloppe prévue pour l’égalité PRO est également inférieure aux prévisions du PV de désaccord. Les 0,20 % annoncés se sont soldés en 0,18 % (-10 %).
Mais heureusement les primes exceptionnelles (pour qui ?) représentent à elles seules 0,53 % de la masse salariale … alors que les primes accolade restent inférieures à 0,20 % (0,17).
En 2018, la direction applique chichement son PV de désaccord, elle ne tient pas compte des revendications de l’intersyndicale et des salariés, elle fait signer dans la douleur un accord d’intéressement qui ne rapporte rien …
Heureusement nous sommes en 2019 !
En négo NAO la CFDT présente les revendications principales suivantes :
1) Date d’application au 1er janvier
2) Augmentation générale pour rattrapage de l’inflation de 3% sur les 4 dernières années : 1500 € annuels (sur la base du salaire moyen 2018 à 51 750 €)
3) Budget des augmentations générales de 2,5% et individuelles de 2% de la masse salariale
4) Mesures spécifiques pour ceux dont le salaire est en décalage par rapport au prix du marché.
5) Budget égalité professionnelle F/H hors-enveloppe NAO
6) Application juste et hors-enveloppe NAO de la Prime Macron
7) Harmonisation de la subrogation hors NAO pérennisée par un accord
8) Salaire minimum de 108% des Minima Conventionnels

 

 

 

Contrat de génération 

Dans le cadre de la deuxième réunion de la commission de suivi de l’accord contrat de génération, la direction déclare que l’accord contrat de génération est une réussite et l’adhésion est en phase avec les prévisions. La prestation de conseil et de vérification des dossiers conclue avec Mercer est prolongée jusqu’à la fin de l’accord. Mercer ne communique que les noms des salariés à la direction, aucun document, mais Ils alertent si le dossier est compliqué.

Il n’y a pas eu suffisamment de nouveaux embauchés ayant participé à l’enquête « Happy Trainees », ATOS n’a donc pas été retenu dans le bilan de l’enquête et le taux de participation n’est donc pas connu…
Le mécénat de compétence fonctionne bien : 14 conventions tripartites ont été signées et 12 personnes sont en recherche actives d’une mission. De plus en plus de salariés sont intéressés et le retour est très positif pour ceux déjà engagés et les associations qui les accueillent.
Il n’y a pas eu d’accompagnement pour des Validations d’Acquis par l’Expérience, ni demande d’aide à la création d’entreprise et 14 bilans de compétences ont été effectués pour un total de 45 jours.
La mesure « Congés d’Accomplissement et de Réalisation de Projet Personnel » a pris fin le 30/09/18 et ne sera pas prorogée par manque de demandes.
La période de test de la pré-retraite d’entreprise a pris fin le 31/12/2018, des discussions sont en cours entre la Direction des Affaires Sociales et la direction du groupe pour permettre le renouvellement de cette offre. Celles-ci portent entre autres sur les budgets nécessaires à la poursuite de cette mesure, on ne connait pas encore quelles décisions seront prises.
La CFDT demande la prolongation et un taux de rémunération de 70% du salaire précédent contre 60% aujourd’hui.
Quelques chiffres en rapport avec l’accord Contrat de Génération :
– on recense 2800 personnes de plus de 55 ans dans le groupe Atos en France
– 60% des plus de 50 ans bénéficient du télétravail
– 324 moins de 27 ans ont été embauchés sur l’année 2018 (chiffre à fin septembre)

Questions et remarques :
La CFDT a déploré que le bilan présenté par la direction après un an n’apporte aucun élément de comparaison avec l’année N-1 (formation, recrutement, rythme d’adhésion, taux d’adhésion senior, …). Il manque aussi le taux de conversation des alternants et stagiaires en CDI et les données MERCER. La direction doit faire une présentation et un bilan plus complet début 2019 recensant tous les chiffres de 2018.
La CFDT précise qu’un des objectifs était de valoriser le télétravail pour les seniors, nous devrions pouvoir comparer avec les pourcentages de 2016, 2017 et les refus opposés par les managers, or nous ne disposons pas de ces données. La direction précise que les refus ne sont pas toujours notifiés par écrit (!), et qu’il n’y a pas eu de refus pour les mécénats de compétences et les CARPP.
La CFDT demande où se situe le problème pour entrer dans un contrat de génération pour les salariés qui font des astreintes régulières. Il s’agit du taux maximum de travail défini dans le contrat de retraite progressive, non compatible avec les astreintes car elles ne sont par définition pas prévisibles.
Il est aussi précisé que le cumul retraite progressive et pension handicap et/ou prévoyance est possible seulement si le total n’est pas supérieur au salaire maintenu, sinon il y a écrêtage par les organismes concernés.

 

 

Retraite : Agirc-Arrco, maintenant que cela va mieux…

Un accord signé en 2015 par trois syndicats dont la CFDT pour assurer l’équilibre financier des régimes complémentaires alors menacé. Il a été demandé des efforts aux salariés et aux retraités.

La situation financière de l’AGIRC ARRCO s’est redressée
En quatre ans, la donne a changé la situation financière s’est améliorée. En 2017 le déficit s’élevait à 569 millions d’euros contre 2,1 milliards d’euros en 2016. Le résultat du régime pourrait même être positif en 2019.

2019 : Ouverture de la négociation sur la retraite complémentaire
La CFDT a demandé, compte tenu de l’amélioration du contexte, la réouverture de la négociation sur la retraite complémentaire.  Celle-ci a débutée le 31 janvier 2019 ; diminution ou suspension du coefficient de minoration, valeur d’achat et de service du point, les différents niveaux de cotisation, voire un coup de pouce aux pensions… tout est sur la table !

Pour la CFDT, au-delà de cet enjeu financier et technique, il s’agit de continuer à montrer la capacité des partenaires sociaux à gérer un régime de retraite et à construire des choix budgétaires équilibrés pour la retraite des salariés du privé. « Ne rien faire c’est laisser faire »

 

 

Atos Pride & charte LGBT, la CFDT Atos signe ! 

La CFDT se félicite de la signature par notre direction de la charte l’autre cercle : c’était notre demande.

        la charte d’engagement LGBT de l’Autre Cercle.

Engagée depuis de longues années dans la lutte contre les discriminations liées à l’orientation sexuelle et l’identité de genre, il s’agit d’affirmer que chaque personne qui adhère, qui milite ou travaille pour la CFDT doit pouvoir le faire dans le respect de sa personne et sans aucune discrimination. Cette démarche fait écho à la conviction qui est celle de la CFDT : les pratiques exemplaires ne peuvent que renforcer les revendications qu’elle porte dans les entreprises en matière de lutte contre les discriminations.

Mais une signature ou un accord ou même les discours en faveur de la diversité ne règle pas tout. L’expérience dans notre action syndicale pour l’égalité femme homme par exemple nous le rappelle tous les jours.

La discrimination sur le sexe, l’âge, l’origine ethnique, l’handicap et autres discriminations nous ont fait intervenir auprès du défenseur des droits pour le respect des salariés chez Atos. Pour nous, syndicalistes c’est un combat de tous les jours.
Nous demandons l’ouverture dans les plus brefs délais d’une négociation sur toutes les discriminations au sein de l’entreprise et la mise en place du droit d’alerte.

En tant que salariés d’Atos, vous n’êtes pas seuls, ne vous laissez pas faire, à la moindre alerte de discrimination, que vous en soyez victime ou témoin (le droit d’alerte inscrit dans la loi aujourd’hui vous protège), ne restez pas dans votre coin, parlez-en à vos représentants.

C’est de cette façon que vous pourrez contribuer à la bonne application des accords des signatures et des discours chez Atos !

 

 

 

 Le Saviez-vous ? Prime éloignement à 1000 euros

Si vous avez passé 6 mois ou plus (consécutifs ou non) en 2018 en mission, sans pouvoir rentrer chez vous le soir, vous avez droit à une prime de 1000€.

Mais, comme trop souvent chez Atos, pour y avoir droit, encore faut-il la demander.

Alors, si vous êtes concernés, n’oubliez pas d’en faire la demande auprès de votre manager et de votre DRH, ou de faire appel à votre représentant CFDT pour vous aider.

Référence : Article 3.4 de la « Note unilatérale relative aux temps de déplacements professionnels » du 16/07/2018.

 

 

La CFDT lutte pour obtenir de nouveaux droits !
La CFDT fait connaître leurs droits aux salariés pour que tous puissent en profiter !

Vous saurez tout sur vos droits chez Atos !

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