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L’Édito : BDS n’est pas à vendre !
BDS is not for Sale ! BDS n’est pas à vendre ! La CFDT a vraiment liké cette réponse de Rodolphe BELMER aux analystes financiers. En effet, BDS est un pilier de l’offre Atos dont nous ne saurions nous séparer !
Par contre, la vraie question est comment faire pour que le moteur « BDS » puisse déteindre sur Atos en termes de fonctionnement, d’esprit d’équipe et surtout de résultat ?
Atos a annoncé une gouvernance resserrée avec un comité exécutif composé de 11 membres. 10 hommes ont déjà été nommés, reste à nommer un ou une directrice commerciale. Il est impensable que, parmi les 110 000 salariés du groupe, il n’y ait pas au moins une femme qui puisse être à la hauteur, et que la hyper haute gouvernance soit strictement masculine, n’est-ce pas Rodolphe !
4 régions, 3 business lines, simplification, déstratification et moins de reporting avec un plan de réorganisation du groupe au deuxième trimestre, bref une remise en cause de la restructuration Spring. Un jeu de chaises musicales, les mauvaises langues diront, mais c’est Game of Thrones : winter is coming dans WestAtos ?
Résultat, l’action Atos rebondit après avoir chuté à l’annonce d’une dépréciation d’actifs sur contrats, des provisions pour créances douteuses et des provisions pour pertes futures.
Néanmoins, l’évolution du cours de l’action représente la performance du groupe. On pourrait ignorer sa dégringolade. Mais ce serait ignorer les mécanismes qui régissent l’économie. À cette heure, il devient important de cesser d’observer les résultats sans remonter aux vraies raisons, c’est pourquoi les élus CFDT ont voté le recours à un éventuel droit d’alerte économique dont l’objectif est d’analyser les causalités, déconstruire les dogmes qui maintiennent une situation en dégradation continue, trouver les propositions qui permettront la relance en préservant l’emploi et en améliorant les conditions de travail. Notons que le groupe lui-même est engagé dans cette réflexion. Il ne sera pas possible pour Rodolphe de réorienter le groupe sans un examen rigoureux de la situation. La CFDT entend porter la voix des salariés pour qu’elle soit prise en compte dans les décisions du groupe.
Enfin, la CFDT alerte fermement la direction du groupe et de la RBU Europe du Sud sur l’impérieuse nécessité d’abandonner immédiatement tout projet de délocalisation de la fonction finance. Acteurs de la fiabilité de nos comptes, les salariés de la fonction finance, parce qu’ils sont vitaux pour l’activité du groupe en France et au global, doivent être considérés comme des talents promus, renforcés et rassurés sur leur avenir professionnel. Les mettre en difficulté, c’est à la fois mettre leur santé en péril et menacer la capacité de transformation et d’évolution du groupe Atos.
La CFDT continuera à travailler avec rigueur et détermination dans l’intérêt de nos collègues et de notre entreprise. Nous continuerons à être insolents et impertinents comme d’habitude !
Rejoignez-nous pour apporter votre touche à notre œuvre commune en devenir !
Parlons Gestion des Emplois et des Parcours Professionnels
La CFDT est très impliquée par le maintien de l’employabilité des salariés : bien piloter sa trajectoire professionnelle, c’est devenir acteur de ses choix professionnels.
Les droits et intérêts des salariés concernent essentiellement :
– Le maintien en employabilité par votre employeur
– Développer vos compétences & connaissances
– Maintenir votre place sur le marché du travail
Pour la CFDT, cela doit se traduire par :
- De la formation, des certifications, du reskilling, de l’upskilling
- Un dispositif permettant la découverte des nouveaux métiers (1 journée en immersion)
- Un suivi pour mieux anticiper les métiers sensibles actuels et à venir par du reskilling / upskilling
- Une évolution de carrière par de la formation incluant des parcours de formations certifiantes
- Des actions sur les situations particulières : d’inter contrat, les absences de longue durée, les missions de longue durée
- Le suivi des parcours juniors
Les salariés concernés par des métiers sensibles doivent revoir leurs évolutions, ce ne sont pas les compétences des salariés qui sont concernées mais leurs métiers.
La GEPP ou Externalisations ?
Rappelons que l’obligation de l’employeur, de par la loi, est de garantir le maintien des emplois en assurant aux salariés un maintien des compétences à travers de formations régulières en vue de les faire évoluer vers les métiers et les marchés stratégiques de l’entreprise. Ce qui permet d’inscrire l’entreprise et les salariés dans un cercle vertueux, d’engagements réciproques, et ainsi assurer la pérennité et la prospérité de l’entreprise.
Aujourd’hui, on constate qu’Atos n’a pas rempli ses engagements vis-à-vis de ses salariés, car elle a décidé d’externaliser jusqu’à 20% de son Chiffre d’Affaires. Atos veut se focaliser sur les métiers stratégiques et se désengager des métiers dits « sensibles ». Que fait alors Atos de ses salariés qu’il ne s’est pas préoccupé de former pour faire évoluer leurs compétences régulièrement, comme la loi l’y oblige ?
Atos a décidé de s’en désengager, de s’en débarrasser (projet Aral et d’autres à suivre…) en les externalisant comme des « mouchoirs jetables » après les avoir bien pressés et usés, voire abîmés, en les rendant obsolètes.
C’est dans ce contexte que la direction France a présenté au mois d’octobre 2021 au CSEC (Comité Social et Economique Central) un document intitulé : GEPP 2021 – Programme de Transformation des Compétences « Métiers Sensibles ». Alors qu’en parallèle se déroulent depuis de nombreux mois des négociations avec les Organisations Syndicales relatives à un projet d’Accord GEPP qui peine à aboutir.
Dans ce document présenté au CSEC, la direction rappelle que, dans le contexte d’accélération vers les Nouvelles Technologies (Cloud, IA, IoT, Big Data, Cyber, Digitalisation, Automatisation…), certains métiers et compétences deviennent obsolètes.
Elle annonce qu’environ 1 200 salariés (voire plus) en France à horizon 3 à 5 ans sont catégorisés comme « Population Sensible », avec comme répartition : TS (700 personnes), AMS (50 à 100 personnes), DCH (200 personnes hors Pilotage), Industry Operations (200 à 300 personnes).
Dans le cadre de la GEPP, un programme volontariste sur 3 ans est lancé pour reskiller ces personnes. Dans un premier temps, l’UES Atos France sera pilote, pour ensuite étendre ce programme aux autres pays de la RBU. Où en est ce programme qui aurait dû théoriquement se concrétiser début 2022 ? Doit-on s’inquiéter de la façon dont il sera mis en œuvre ?
En effet, à ce jour, la direction refuse de communiquer et présenter le budget de ce programme au CSEC comme demandé, ni fournir la liste des salariés concernés et encore moins fournir le cahier des charges et le document de restitution du diagnostic réalisé unilatéralement par un prestataire de services extérieur. Enfin la direction a refusé de réaliser une consultation du CSEC sur un programme de cette envergure, ce qui aurait permis aux élus CFDT de suivre plus en détail ce projet et de faire des propositions constructives.
Ci-dessous, quelques extraits issus du travail d’évaluation de la GEPP d’Atos par le cabinet d’expertise Syncéa mandaté par le CSEC :
Extrait : « En France, un premier projet en ce sens a été annoncé en octobre 2021. D’autres actions devraient suivre pouvant concerner jusqu’à 20% des activités. »
Extrait : « La politique menée par Atos en France en matière de formation n’apparait pas à la hauteur des enjeux. En 2020 la plupart des indicateurs (dépenses engagées, taux d’accès à la formation, nbre de jours de formation) s’établit en baisse et les objectifs fixés en matière de certifications sont loin d’être atteints. »
Extrait : « À la date de rédaction de notre rapport, une démarche GEPP qui n’en est qu’à ses débuts. Les étapes clés de définition des volumétries, des plans d’actions et du budget ne sont pas encore réalisées. »
Extrait : « Le budget alloué à cette GEPP conditionnera pour beaucoup sa réussite. Au regard de la situation, Atos doit accepter d’investir massivement et de rogner sur ses marges pour permettre la transformation de ses compétences. Toutefois, nous émettons des réserves sur la capacité d’Atos à « reskiller » autant de salariés (estimation entre 1 200 et 1 800 dans les 2-3 ans à venir au regard des résultats et du défaut d’investissement par le passé. »
Cela se passe de commentaire, Atos doit très vite arrêter cette politique des externalisations, dévastatrice pour l’entreprise et qui entame encore davantage la confiance des salariés dans leur entreprise et dans ses dirigeants. Cela ne fait qu’amplifier la fuite des talents et des experts, alors même qu’Atos peine à recruter.
CSE Atos Conseil & Solutions : un nouveau site Internet
Le CSE Atos Conseil et Solutions s’efforce de mettre à disposition un nouveau site internet permettant de sécuriser et faciliter la gestion de vos Activités Sociales et Culturelles (ASC). Cette migration a été initiée dès le mois de janvier 2019. L’ancien système est couramment appelé Veya, le nouveau est dénommé comme son fournisseur : Henley.
Le site internet du CSE est accessible de deux manières différentes. Par les salariés pour s’informer, s’inscrire, commander, compléter les dossiers… Un autre type d’accès au site internet permet à l’équipe de gestion, composée quasi-exclusivement de salariés du CSE, de traiter vos demandes. Cet accès est également utilisé dans le même objectif par les correspondants locaux et bénévoles.
Dans un premier temps, trois ensembles d’activités locales ont migré, pour Aix, Lille et Nantes.
En 2020, le Comité Social et Économique (CSE) Atos Conseil et Solutions a succédé au CEt Atos Solutions. Il a mis en place une première commission pour assurer le suivi la migration de cette infrastructure. Durant les années 2020 et 2021, cette commission a suivi la migration de tous les sites locaux, à l’exception de Bezons et Montpellier. Les ASC nationales n’ont pas encore été transférées sur le nouveau système.
Au mois de novembre 2021, le CSE a malheureusement constaté que les travaux se sont concentrés sur la migration rapide des sites, sans que la qualité de cette migration soit évaluée et corrigée au fur et à mesure des passages des sites locaux de province sous Henley. Au-delà de la qualité, le délai et le budget de la migration n’ont pas été maîtrisés. Fin 2021, le constat est accablant : le délai proposé est porté jusqu’en février 2022 au moins et l’ancienne commission demande au CSE de doubler le budget, avec une nouvelle dépense de près de 70 000 € pour finaliser la migration.
Une nouvelle commission a alors été mise en place. Elle a fait le constat que les migrations réalisées n’ont pas permis d’atteindre un niveau de satisfaction souhaitable pour les salariés des sites, les élus, les correspondants locaux, les bénévoles et l’équipe de gestion. Elle a donc lancé un audit auprès des correspondants locaux et interpelé le prestataire sur ses défaillances. Elle a revu le budget nécessaire pour achever les travaux de migration, en supprimant près de 70% des coûts prévus, à moins de 22 000 € (au lieu de presque 70 000 €). Enfin, elle a planifié, en concertation avec la commission des ASC nationales, les travaux nécessaires pour que la migration des ASC nationales, puis locales, puisse être lancée sans mettre en difficulté les salariés qui utilisent le système du CSE ni l’équipe de gestion.
Encore aujourd’hui, des problèmes du nouveau système subsistent. L’ancienne commission avait annoncé avoir traité un problème de déconnexion permanente des salariés de l’équipe de gestion. Il n’en est rien et cela ralentit les travaux des salariés du CSE. Malgré leur mobilisation, nous avons donc dû déplorer une surcharge de leur activité et un ralentissement dans le traitement des dossiers. Dans les sites locaux, les migrations hâtives ont engendré des erreurs de stocks persistantes qui pénalisent les salariés qui souhaitent passer des commandes.
La CFDT salue les travaux des salariés employés par le CSE, ainsi que celui des élus qui s’investissent dans les commissions. En maîtrisant le budget, les délais et la qualité, la nouvelle commission migration permet au CSE d’entrevoir un horizon pour achever cette migration, sans gaspillage des dotations qui sont, rappelons-le, assises sur la masse salariale de l’UES Atos France. Les élus CFDT qui s’y engagent participent à plusieurs réunions par semaine pour atteindre l’objectif de satisfaire tous les salariés dans un contexte raisonnable de travail pour l’équipe de gestion, comme on peut en attendre d’un employeur responsable.
AGIRC-ARRCO Présentation du rapport provisoire au CSEC
Les élus CFDT d’Aix en Provence ont, à plusieurs reprises, alerté la direction sur la situation difficile que rencontrent depuis de plusieurs années certains salariés en mission pour l’AGIRC/ARRCO, certains d’entre eux étant depuis longtemps en RPS et arrêt de travail.
Durant l’été 2021 la situation s’est aggravée et face à ce malaise grandissant les représentants de proximité CFDT ont alerté l’inspection du travail et ont remonté des Dangers Graves et Imminents (DGI).
Conformément à l’organisation sociale existante, la commission santé, sécurité et conditions de travail (CSSCT) a été saisie pour venir en aide aux salariés en danger. Suite à nos alertes, la réaction des responsables locaux du projet a été jugée insuffisante. Les élus du Comité Social et Economique Central (CSEC) ont décidé de recourir à un expert agréé pour comprendre la situation, évaluer les risques en présence, rechercher les causes, et aider à la mise en place d’un plan d’action.
Le rapport d’expertise issu de ce travail a été présenté lors du CSEC ordinaire du 12 février 2022 dans sa version provisoire. Dans l’attente du rapport définitif qui sera présenté prochainement, la direction d’Atos conteste de nombreux éléments portant sur des sujets particulièrement inquiétants et laisse transparaitre une volonté d’organiser sa défense à partir d’éléments purement juridiques. L’intervention d’un cabinet externe agréé avait pour objectif une sortie par le haut de cette situation regrettable, en permettant la mise en place d’un plan d’action garantissant la santé des salariés tout en préservant les intérêts commerciaux d’Atos chez ce client.
Pour la CFDT, en invitant à faire appel à des voies de recours externes à l’entreprise, la direction ne fait qu’ajouter un risque économique aux risques déjà présents sur la santé des salariés qui subissent cette situation. Ce projet n’est malheureusement pas le seul à être compliqué, mais il est révélateur sur bien des aspects des nombreuses difficultés et du peu de considération pour les salariés Atos lorsqu’ils sont envoyés en sous-traitance chez des clients difficiles.
Expertise : Champs Électromagnétiques à Bezons
Rappelons-nous que le 23 septembre 2020, une minute de silence était observée en séance plénière du CSE central à la mémoire de 12 collègues décédés de causes similaires : gliome ou leucémie.
Initialement, sur le site des Clayes-sous-Bois, la CFDT s’est alarmée d’une succession de 9 décès liés à des cancers rares. Les victimes de ces maladies ont travaillé dans les mêmes espaces de bureau. Ces affections mortelles pourraient être la conséquence d’une longue exposition aux champs électromagnétiques. Les travaux des élus ont permis de lancer une première expertise.
Sur le site de Bezons, 3 salariés ont également été victimes de cancers. La CFDT a donc transposé ses travaux du site clétien vers le site bezonnais. La direction a tenté de minimiser, puis est allée en justice contre deux instances CHSCT en 2019 afin de bloquer les enquêtes demandées par les élus sur le sujet. La justice a débouté la direction et a reconnu le bien-fondé de la demande.
Le 12 novembre 2020 sur France 2, l’émission Complément d’enquête intitulée « 5G : l’onde d’un doute » est en partie consacrée au site Atos des Clayes. Il y est fait état d’un nombre anormal de décès des suites d’une forme rare de cancer du cerveau, questionnant leur lien avec les nombreuses sources de rayonnement électromagnétique sur place. L’émission révèle alors qu’entre 2015 et 2019, « un nombre inexpliqué » de cancers du cerveau ont été diagnostiqués chez plusieurs salariés ou ex-salariés du site clétien d’Atos, « tous avec la même pathologie : des gliomes ». Un médecin du travail, interrogé par Complément d’enquête, explique avoir été surpris par ce nombre de cas « parce que l’incidence des gliomes en France est de cinq à six pour 100 000, et qu’on arrive à sept pour 1 000 » sur le site des Clayes.
Les élus du CSE Central ont exigé que la direction remplisse son devoir de santé, de sécurité et surtout de prévention et que ce sujet soit rapidement traité en CSE Central dans le cadre de la Commission Santé, Sécurité et Conditions de Travail (CSSCT) prévue notamment à cet effet. La direction a botté en touche, prétextant que le sujet n’était pas à l’ordre du jour, la CFDT a répondu que le décès de nos collègues n’était pas non plus à l’ordre du jour !
Aujourd’hui les études sur Bezons, Rennes et Toulon ne sont donc pas à prendre à la légère. Pour chacun de ces sites, la CFDT poursuivra son engagement aux côtés des salariés exposés aux champs électromagnétiques.
Ainsi, la CFDT demande instamment à la direction de sortir de sa posture de déni et de répondre à toutes les préconisations du CSE et de sa CSSCT, dans le cadre du principe de précaution et dans l’intérêt de la santé des travailleurs et dans le respect des obligations générées par le décret de 2016 (2016‑1074) relatif à l’exposition des travailleurs au risque électromagnétique.
La CFDT à la marche des fiertés
Dans le cadre de son engagement pour l’égalité des droits, la CFDT participe aux Marches des Fiertés depuis bientôt 20 ans. La CFDT soutient ce rendez-vous militant annuel et s’engage sur les questions de lutte contre les discriminations liées à l’orientation sexuelle et à l’identité de genre. La CFDT mène des politiques actives contre toutes les discriminations au travail. Profondément attachée aux valeurs de solidarité et soucieuse de défendre l’égalité au travail de toutes et tous, la CFDT combat les préjugés et toute forme de violence ou de mise à l’écart du fait de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre. Dans les entreprises et les administrations, les victimes de ces violences peuvent compter sur le collectif CFDT et leurs élus pour être écoutées, aidées et accompagnées. Nous sommes toutes et tous concernés pour faire face, lutter et éliminer toutes les discriminations liées à l’orientation sexuelle et à l’identité de genre.
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« Aux travailleuses essentielles, la France reconnaissante »
8 mars 2022 de 11h30 à 16h, place du Panthéon Paris
Flyer de la journée du 8 mars 2022
Brèves
L’employeur peut-il contrôler notre activité ?
La Minute de vos Droits CFDT : votre employeur peut-il contrôler votre activité (ordinateur, smartphone, etc.) et user de ce contrôle pour prouver une faute professionnelle ? Réponse en vidéo avec Abel, notre juriste : vidéo
Clause de non-concurrence
Au-delà de la date de rupture conventionnelle, la renonciation est impossible !
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Journée mondiale de la justice sociale
La justice sociale est fondée sur l’égalité des droits pour tous les peuples et la possibilité pour tous les êtres humains sans discrimination de bénéficier du progrès économique et social partout dans le monde. Promouvoir la justice sociale ne consiste pas simplement à augmenter les revenus et à créer des emplois. C’est aussi une question de droits, de dignité et de liberté d’expression pour les travailleuses et les travailleurs, ainsi que d’autonomie économique, sociale et politique.
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