Actualité sociale et économique de l’UES Atos France – Juillet 2018
NAO, Près de 5000 signatures ! Merci !
CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, UNSA : Grand succès de la pétition nationale pour l’augmentation générale des salaires.
L’intersyndicale remercie tous les salariés qui ont contribué au succès énorme de cette pétition réalisée dans des conditions rendues difficiles par la dispersion des salariés sur les nombreux sites, en clientèle ou en télétravail.
Cette pétition a été remise par une délégation de 100 syndicalistes de toutes les organisations syndicales à Monsieur Jean-Marie SIMON et Madame Vanessa CARENCO, respectivement Directeur de la GBU France et DRH de l’UES Atos France, lors du comité de Groupe de ce jour. La délégation a rappelé les revendications de l’intersyndicale
• une augmentation générale de rattrapage de 1500€,
• un budget 2018 de 3%,
• 0,2% pour l’égalité professionnelle.
L’intersyndicale a demandé la réouverture des négociations partant du constat que les très bons résultats du Groupe permettent de satisfaire ces revendications.
Thierry BRETON ne nous a pas reçus. Mais, encore une fois, il a mandaté Jean-Marie SIMON pour recevoir les syndicats et lui rapporter les revendications des salariés dans la journée.
L’intersyndicale a insisté pour être reçue par Thierry BRETON.
Jean-Marie SIMON s’est engagé à donner une réponse avant la fin de la semaine à l’ensemble de nos demandes.
L’intersyndicale a prévenu que, sans avancée concrète de la direction, elle reprendra la mobilisation en septembre.
Au final, Thierry Breton n’a pas daigné recevoir l’intersyndicale et aucune réponse ne lui a été donnée par JMS, elle a donc décidé de se réunir le 29 août prochain pour continuer à organiser la mobilisation pour les salaires !
Cliquer ici pour voir la vidéo de la mobilisation à Bezons du 26 juin 2018
Intéressement, Résultat des courses : à tout casser 20 euros Brut /mois, une belle mascarade !
La CFDT, refuse d’y participer, elle n’est pas signataire de l’accord ! pourquoi ?
1) selon les derniers chiffres de la Dares (publication n°2017-055 d’août 2017), le montant moyen de la prime d’intéressement en France s’élève à 1772 euros, celui de la participation, à 1407 euros.
2) La somme affichée de 500 euros est complètement hypothétique voir utopique puisque conditionnée par l’atteinte des deux objectifs financiers :
– La progression du CA externe annuel de 5%,
– Le taux de marge opérationnelle annuelle de 10,9%
Or ces valeurs n’ont jamais été atteintes les années précédentes et leur progression n’augurent pas d’une éventuelle atteinte cette année ! Encore pire les résultats de H1 pour la France consultable ici , donnent à peine :
– une progression du CA externe de 3,1 %,
– un taux de marge opérationnelle annuelle de 7,3 %
Ce qui rend encore moins atteignable les objectifs pour le H2 qui doivent être :
– une progression du CA externe de 6,9%,
– un taux de marge opérationnelle annuelle de 14,9%
C’est ce qui s’appelle Vendre du rêve aux salariés ! Non merci, sans la CFDT !
3) en cas d’atteinte de l’objectif du CA externe et pas celui de marge et à condition que le taux de marge de la GBU soit supérieur au taux de marge réalisé du Groupe (hors Wordline et structures globales), le montant de l’ intéressement par salarié serait de 200 €. Si c’est l’objectif du taux marge qui est atteint et pas celui du CA externe et à condition que la progression du CA externe de la GBU soit supérieur celui de la moyenne du Syntec Numérique estimé à 3,6%. Le montant de l’ intéressement / salarié serait de 250 €.
Ces deux cas aboutissent à des montant globaux que la direction avait annoncé d’entrée de jeu de la négo devoir verser au titre d’une réserve spéciale de participation faute d’accord d’intéressement !
4) L’accord est triennal avec les mêmes progressions d’année en année en termes d’objectifs financiers à atteindre pour le déclenchement mais pas du tout la même progression du montant alloués à l’intéressement ( exactement 1/6) ce qui est en soit une aberration !
La question qu’on pourrait se poser est : pourquoi un accord Intéressement à l’esbroufe bricolé dans l’urgence et hors délais ? l’on pourrait imaginer plusieurs réponses :
– Eteindre le feu social sur les salaires en affichant une pseudo issue heureuse avec les syndicats…signataires ?
– Arrêter l’hémorragie des salariés démissionnaires qui préfèrent aller chez les concurrent, là où l’herbe serait plus verte . ?
– Leurrer les éventuelles nouvelles recrues qui ne pointent plus à l’horizon en raison de l’offre salariale faible et de l’absence d’évolution par rapport aux concurrents ?
Ajouté à cela les conditions obscures dans lesquelles se sont déroulées les négociations (Lire plus bas).
En effet, Les six réunions de négociation se sont tenues en mai et juin et le dernier projet d’accord présenté à l’ensemble des Organisations Syndicales à la date du 29 juin n’a recueilli la signature d’aucune organisation syndicale.
La première semaine de juillet, des échanges portant sur les éléments financiers semblent avoir eu lieu, hors réunion de négociation, avec certaines organisations syndicales seulement : pourquoi ?
Un extrait de texte a circulé, sans que l’on sache qui en était l’émetteur.
C’est pourquoi la CFDT a interrogé – par écrit, le 4 juillet au soir – Philippe MAREINE, DRH groupe, pour comprendre le sens de la démarche de la direction. M. MAREINE nous a répondu, oralement, que la date du 30 juin étant dépassée, la direction avait transmis son ultime proposition.
La CFDT Atos a donc communiqué sur l’échec de la négociation intéressement pour 2018.
Le 5 juillet, la direction recevait l’ensemble des coordinateurs du Groupe, elle a confirmé qu’aucun accord n’avait pu être trouvé sur le sujet intéressement.
La semaine suivante, après de nouveaux échanges concernant les niveaux de marge opérationnelle entre la direction et certaines organisations syndicales, et à nouveau en dehors de toute séance de négociation officielle, la direction a rédigé et envoyé le lundi 9 juillet au soir, un nouveau projet d’accord, mentionnant une signature possible postérieurement au 30 juin.
C’est dans ces conditions, sur la base d’échanges officieux ne concernant pas l’ensemble des négociateurs, qu’un accord fut signé par trois organisations syndicales entre le 9 juillet au soir et le 10 juillet avant midi, sans qu’aucune réunion de négociation ou de signature ne soit convoquée.
On peut s’étonner qu’une organisation syndicale signataire de l’accord ait déclaré au CCE :
« Après des négociations salariales qui ne récompensent pas l’effort des salariés et qui aggravent les problèmes d’effectifs et de recrutement, après une négociation sur l’intéressement qui ne distribuera que des miettes au regard des résultats de la GBU France, quand la direction d’Atos arrêtera t’elle d’être méprisante et indécente envers les salariés de la GBU France ? »
La CFDT, pour sa part, n’a pas été destinataire des dernières informations économiques ou financières qui ont permis à certains d’inverser leur décision du 29 juin.
S’il ne nous appartient pas de nous prononcer sur le respect des règles fiscales en matière d’épargne salariale, nous considérons néanmoins que cette « négociation » n’a pas respecté les critères de loyauté et de sincérité prévus par la loi.
La CFDT a fait part de son point de vue à la DIRECCTE qui doit valider l’accord d’intéressement
Enjeux de la DAF France
Lors du CCE du 31 mai 2018 et du CE ABT du 21 juin 2018, la Directrice Finance ATOS France nous a présenté le projet de son entité sous le titre « Enjeux de la DAF France » en évitant l’Information et la Consultation de ces deux instances, alors que ce projet présente toutes les caractéristiques d’une restructuration avec une réorganisation qui impacterait l’effectif actuel de l’entité (159 pers) Atos Finance.
Les motivations affichées par le Département Finance Atos s’appuient sur la nécessité de mettre en place une Digitalisation adaptée, une Robotisation et une Standardisation accrues des rapports financiers avec des Outils et des Processus améliorés. Ce qui conduira immanquablement à une « optimisation » des effectifs.
Pour exemple cité en séance, environ 60% des tâches actuelles du Contrôle de Gestion sont automatisables.
En conséquence, les élus ont insisté sur la communication de l’impact du projet sur les emplois. A cela la direction n’a pas été très bavarde, si ce n’est que les personnes seront accompagnées pour une « mobilité vers de nouveaux métiers ».
Pour la CFDT un projet de cette envergure nécessite une Information Consultation des Instances du Personnel pour leur permettre d’en évaluer toutes les conséquences sur les emplois, les conditions de travail des salariés et les Risques Psychosociaux (RPS) que cela va induire. Il est inutile de rappeler l’angoisse et l’inquiétude des salariés concernés par ce projet. Aussi, à ce jour aucune étude en amont sur les impacts des RPS n’a été présentée et encore moins engagée.
Une fois de plus, la Direction signe des accords qu’elle n’applique pas.
Elle nous donne rendez-vous en septembre avec un peu plus d’informations. Si vous rencontrez des difficultés dans votre environnement de travail n’hésitez pas à contacter votre représentant CFDT qui saura vous conseiller et vous défendre au besoin.
Compensation des Surtemps trajet : résultats de l’enquête et recommandations
Presque 3800 personnes ont répondu au questionnaire en ligne, soit un taux de participation de 34,5%.
Moins d’une personne sur quatre bénéficie effectivement de compensations alors qu’il le devrait. En 2017, 660 personnes ont bénéficié de compensations pour des surtemps de déplacements. La sous-utilisation massive du dispositif de récupération des surtemps de trajet est liée à plusieurs facteurs, les questions pratiques (temps et complexité de process) semblent décourager un grand nombre de personnes. Les règles sont inconnues ou méconnues de très nombreux salariés.
Le système de compensation est très loin d’atteindre son objectif en termes de santé au travail, des blocages hiérarchiques sont avérés.
La situation d’Atos, déjà difficile, se détériorerait en cas d’application stricte du projet de note unilatérale de l’employeur à l’étude. Elle est à rapprocher des décisions de justice existantes ayant abouti à la condamnation d’employeurs concernant les temps de déplacements professionnels.
La situation est tendue en termes de santé et sécurité au travail et fait courir un risque juridique à l’entreprise.
La note unilatérale entrera en vigueur début Aout 2018, avec des risques supplémentaires.
Il n’y aura ouverture d’un droit à compensation, que si le temps de déplacement professionnel (réalisé en dehors de la plage de référence 9h-17h) excède 2h30 aller-retour sur une journée.
Cependant elle prévoit les mêmes définitions des temps de référence habituels que l’accord de 2016, ne permettant donc pas en théorie l’application de la pratique « des six mois ».
Il n’existe à notre connaissance aucune base légale ou réglementaire permettant de définir le lieu d’une mission en clientèle comme le lieu de travail habituel du salarié, en particulier du point de vue des surtemps définis par l’article L3121-4 du Code du Travail. Bien au contraire, loin de « normaliser » les déplacements vers des sites clients, même réguliers, la jurisprudence européenne tend à considérer que ces derniers pourraient être considérés comme du temps de travail effectif, à la différence des temps de trajets vers un site de l’employeur.
L’accord de 2016 prorogé comme le projet de note unilatérale de 2018 ne laissent aucune place à une interprétation de ce type, puisque le lieu de travail habituel y est explicitement défini comme le site de rattachement Atos ou un autre site Atos.
Les recommandations de l’expert et de l’Instance de Coordination des CHSCT
Nous recommandons en premier lieu l’abandon de la limite forfaitaire de 2h30 comme seuil de déclenchement des repos de compensation. Cela éviterait d’augmenter les risques de santé et sécurité au travail liés aux temps de transports, déjà marqués chez Atos du fait notamment des déplacements fréquents, des localisations et des évolutions de sites.
Nous recommandons la prise de repos après les déplacements sans attendre l’aboutissement des procédures de crédit de temps, pour tous les salariés
L’Egalité Professionnelle entre les Femmes et les Hommes, Atos, pas à la hauteur !
En effet en 2017, le budget dédié à la suppression des écarts de rémunération entre les femmes et les hommes, de 780 000 euros (0,14% en moyenne de la masse salariale) n’a pas été distribué correctement. En 2018, la direction a décidé de garder le contrôle de ce budget (1 146 783 euros, doit 0,2% en moyenne de la masse salariale).
L’accord est sur 3 ans, et il reste seulement 2 ans pour que ce rattrapage commence.
Pour rendre efficace une politique de suppression des écarts de rémunération entre les femmes et les hommes, il est indispensable de tracer les évolutions de carrière. Mais tant qu’Atos ne sera pas doté d’un tel outil (SI-RH) : Comment faire un véritable constat de la situation des carrières des femmes et des hommes ?
Pour améliorer la mixité des emplois et maintenir 24% de femme, l’entreprise a participé à 138 forums d’écoles et d’universités en 2017. Sur 100 CV de candidature reçus, il y a 31 femmes, 69 hommes. Mais seulement 26,4% des recrutements CDI/CDD concernent des femmes.
Dans l’entreprise, les clichés ont la vie dure et les femmes occupent majoritairement des postes dans les fonctions globales, support, affaires sociales et RH, les métiers du consulting et de l’informatique fonctionnelle.
En 2017, il y a eu 2 alertes pour harcèlement dont une s’est conclue par le licenciement d’un harceleur…
L’espace BK de la référente Egalité Professionnelle est encore vide, la CFDT vous invite à y poster vos réactions :
https://zen.myatos.net/space/in/_120/home
*Le SI-RH est un programme informatique qui contient, sur le socle d’une base de données unique, des modules intégrés, permettant d’exploiter les données pour mettre en œuvre des processus de gestion de ressources humaines.
Suivi des accords temps de travail, procédures perfectibles !
ESS/MSS LEAVE : la CFDT n’a pas cessé de demander d’améliorer la mise en place des procédures conformes aux accords pour pallier aux délais excessifs de mise à jour des compteurs, nombre de situations nécessitent une régularisation papier, les absences validées n’entrainent pas automatiquement la mise à jour du quota d’absence, etc… La direction envisage enfin la mise en œuvre d’un outil de gestion du temps.
Jours de fractionnement : le nombre de jours non pris est de 2474, environ l’équivalent de 650000€. L’incohérence de l’outil ESS/Leave dont la prise en compte tardive des compteurs a également favorisé cette non prise des jours de congés de fractionnement à temps, ceux-ci ne pouvant être pris qu’entre le 1er novembre et la fin février or ils ne sont visibles dans les compteurs qu’en décembre.
Dons de JRTT/Repos : la CFDT a demandé de négocier un avenant à l’accord pour prendre en compte l’évolution de la législation afin de faire profiter « les salariés aidants » du dispositif de don de CP/JRTT (compte solidarité, conditions d’attribution et organisation).
Pour en bénéficier les salariés devront s’occuper d’un proche (conjoint, concubin, pacsé, ascendant, descendant, collatéral jusqu’au 4ème degré…). La perte d’autonomie de ce proche s’apprécie selon les mêmes modalités que pour le congé de proche « aidant ».
Pour plus d’info voir notre rubrique : Nos Droits, puis Congés sur l’appli ou directement sur notre site: https://www.cfdt-atos.org/conges/
Groupes de travail spécial Intermission : « initiatives internes », what else ?
La direction serait en pleine réflexion sur le sujet suivant : Comment remobiliser nos employés, comment les faire adhérer à la stratégie d’Entreprise, comment rendre synonyme, chez Atos, travail et plaisir ?
Le constat concernant la réputation d’ATOS est alarmant : Atos n’arrive pas à recruter ! L’entreprise n’attire plus, le marché et les clients s’en rendent compte : aucun bien-être au travail réel pour les salariés qui avouent pour certains avoir du mal à conseiller leur entreprise à leurs relations malgré les primes de cooptation proposées. Cette entreprise qui mise sur le recrutement de talents mais ne s’en soucie pas plus que ça une fois le contrat signé. Les salariés voient leur espoir de réussite et d’avancement anéanti. Ils quittent l’entreprise pour pouvoir évoluer car Atos reste pilotée par l’appât du gain et de la finance au détriment de l’humain. Il n’y a pas de valorisation du personnel, ni d’augmentation salariale significative, ni même qui suive le niveau de vie….La solution selon la direction est de confier ce challenge aux salariés en intermission avec un délai de livraison : 8 semaines !
La CFDT s’interroge ? comment peut-on demander aux salariés en intermission de traiter ces sujets en 8 semaines, de trouver des solutions et des pistes là où le management et les décideurs Atos échouent lamentablement depuis plusieurs années ! Comment attirer les talents, comment fidéliser les générations Y, Z. Comment convertir les populations senior réfractaires au changement…! Ont-ils les compétences pour le faire ? Voilà qu’on demande aux salariés en intermission de se reconvertir …et vite fait mais hélas certainement pas bien fait !
Pour rappel : les quatre compétences RH indispensables en 2018 selon la direction sont le Recrutement, la gestion des talents, les relations sociales, la marque employeur !
Enfin la direction, n’a-t-elle pas donc pas l’intention d’examiner une piste pourtant triviale, celle des augmentations de salaires…Pardi !
Support informatique, stop la surtaxe !
La CFDT a constaté que le numéro de la hot line 08 25 00 00 53 est surtaxé.
Une étiquette comprenant support-aof@atos.net et ce numéro 08 25 00 00 53 était collé sur nos PCs
Ce point a été remonté en CHSCT (dernier trimestre 2017) et plusieurs réunions DPs (fin 2017 et premier trimestre 2018), pour obtenir la gratuité du numéro de support informatique.
Après insistance et de nombreux échanges, la CFDT a obtenu gain de cause : désormais le numéro du support informatique est non surtaxé : 01 48 11 56 53.
L’étiquette, comprenant le numéro de téléphone surtaxée, est ôtée de tous les nouveaux PCs. Ce numéro a été communiqué sur l’outil de communication de l’entreprise Blue Kiwi.
Prud’hommes : les nouvelles règles
Procédure de saisine plus complexe, délais raccourcis, indemnités plafonnées… Pour les salariés licenciés qui veulent porter leur affaire devant les prud’hommes, les conditions se sont durcies. Conséquence : un nombre de saisines en forte baisse.
C’est peu dire que la justice prud’homale subit, depuis 2016, un vent de réforme tout azimut : réforme de la procédure, bouleversement complet du mode de désignation des conseillers prud’hommes, etc. Pour les salariés en conflit avec leur employeur et souhaitant porter leur affaire devant les prud’hommes, les règles aussi ont changé.
Il faut le savoir : agir devant les prud’hommes est devenu plus difficile. Le mode de saisine surtout est devenu plus complexe : depuis le 1er août 2016, en effet, tout salarié qui souhaite saisir un conseil de prud’hommes ne peut plus simplement se rendre au greffe et présenter sa requête. Il lui faut préalablement remplir un formulaire Cerfa de sept pages (Cerfa no 15586*03), complexe à décrypter car écrit dans une langue juridique et administrative peu accessible au plus grand nombre.
Lire la suite sur le site de la CFDT
La CFDT lutte pour obtenir de nouveaux droits !
La CFDT fait connaître leurs droits aux salariés pour que tous puissent en profiter !
Vous saurez tout sur vos droits chez Atos !
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